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Après une toute petite absence (à peine 13 mois... Hum...), me voici de retour pour te pondre un petit article qui parlera de photographie. Car l'histoire de la photographie comporte quelques petites anecdotes qui méritent d'être mentionnées, sache-le, cher lecteur !

Sache tout de même que je ne te ferai pas ici une leçon d'histoire de la photographie, et que si les éléments dont je te parle attisent ta curiosité, tu trouvera chez ton ami Wikipédia ou ton ami Google tout un tas de gens qui feront ça bien mieux que moi.

 

 

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Après une toute petite absence (à peine 13 mois... Hum...), me voici de retour pour te pondre un petit article qui parlera de photographie. Car l'histoire de la photographie comporte quelques petites anecdotes qui méritent d'être mentionnées, sache-le, cher lecteur !

Sache tout de même que je ne te ferai pas ici une leçon d'histoire de la photographie, et que si les éléments dont je te parle attisent ta curiosité, tu trouvera chez ton ami Wikipédia ou ton ami Google tout un tas de gens qui feront ça bien mieux que moi.

 

 

 

La photographie débute avec les diverses machines à dessiner ou machines à profils silhouettés qui furent très en vogue (surtout cette dernière) à la renaissance. On trouve par exemple en vrac, la chambre claire, la chambre noire (petit schéma), le perspectographe et autres inventions de Dürer ou la fameuse machine à silhouetter.
Si je parle de ces inventions, c'est parce qu'elles sont primordiales, car initiatrices de l'automatisation des représentations, du dessin. Elles apportent également la notion de point de vue unique et de perspective centrale, mais c'est là un autre sujet.

Si ces machines permettent de représenter la "vérité" avec des proportions particulièrement justes et semblables à celles vues par un œil humain, il faut tout de même une main pour dessiner. La photographie tente de supprimer ce facteur humain pour se rapprocher toujours plus de la représentation parfaite, "réelle" de la nature.

Je vais passer sur les détails, mais la première véritable photographie est prise en 1826 par Joseph Nicéphore Niépce, avec une pose qu'on estime entre 14 et 18 heures. Auparavant, les expériences faites dans le domaine ne fixaient pas l'image de façon définitive, on ne pouvait qu'imprimer une silhouette quelques seconde sur un support avant qu'elle ne s'efface.

La photographie a toujours été considérée comme découlant de l'art puisque fille des machines à dessiner vues préc&e

Après une toute petite absence (à peine 13 mois... Hum...), me voici de retour pour te pondre un petit article qui parlera de photographie. Car l'histoire de la photographie comporte quelques petites anecdotes qui méritent d'être mentionnées, sache-le, cher lecteur !

Sache tout de même que je ne te ferai pas ici une leçon d'histoire de la photographie, et que si les éléments dont je te parle attisent ta curiosité, tu trouvera chez ton ami Wikipédia ou ton ami Google tout un tas de gens qui feront ça bien mieux que moi.

 

 

 

La photographie débute avec les diverses machines à dessiner ou machines à profils silhouettés qui furent très en vogue (surtout cette dernière) à la renaissance. On trouve par exemple en vrac, la chambre claire, la chambre noire (petit schéma), le perspectographe et autres inventions de Dürer ou la fameuse machine à silhouetter.
Si je parle de ces inventions, c'est parce qu'elles sont primordiales, car initiatrices de l'automatisation des représentations, du dessin. Elles apportent également la notion de point de vue unique et de perspective centrale, mais c'est là un autre sujet.

Si ces machines permettent de représenter la "vérité" avec des proportions particulièrement justes et semblables à celles vues par un œil humain, il faut tout de même une main pour dessiner. La photographie tente de supprimer ce facteur humain pour se rapprocher toujours plus de la représentation parfaite, "réelle" de la nature.

Je vais passer sur les détails, mais la première véritable photographie est prise en 1826 par Joseph Nicéphore Niépce, avec une pose qu'on estime entre 14 et 18 heures. Auparavant, les expériences faites dans le domaine ne fixaient pas l'image de façon définitive, on ne pouvait qu'imprimer une silhouette quelques seconde sur un support avant qu'elle ne s'efface.

La photographie a toujours été considérée comme découlant de l'art puisque fille des machines à dessiner vues précédemment (et plus particulièrement de la chambre noire), mais à l'époque, les artistes se déchiraient sur la question de la légitimité de ces représentations. Le procédé ne laissant aucune place à la main humaine lors de la création de l'image poussait nombre de peintres, mais aussi de philosophes ou de poètes, à dénigrer ouvertement la photographie et à ne pas la considérer comme un art.

C'est un point important car Louis Daguerre, considéré comme l'inventeur officiel de la photographie, cherche à déposer le brevet de son invention (le daguerréotype) à l'académie des arts. Malheureusement, on lui refuse l'autorisation sous prétexte que la photographie ne peut être considérée comme un art. Il doit cependant se dépêcher, car William Henri Fox Talbot, un britannique, mène des recherches parallèles et est sur le point de déposer lui-même un brevet. Daguerre contourne alors le problème et fait déposer un brevet à l'académie des sciences, en la vendant comme une invention pouvant servir à représenter le plus exactement possible le monde, et non pas comme une forme d'art, ce qu'il comptait faire en premier lieu.

Le Daguerréotype est très vite commercialisé et aura un succès fulgurant, mais à l'heure actuelle, bon nombre de gens considèrent Talbot comme le véritable inventeur de la photographie moderne, et non pas Daguerre. Ceci est principalement dû au fait que même si Daguerre a déposé sont brevet quelques mois avant Talbot, son Daguerréotype produisait une image unique directement en positif, et que toute reproduction était impossible. Talbot, en revanche, avait mis au point un système de négatif, ancêtre de notre photographie argentique actuelle, qui permettait de tirer autant de copies d'une image qu'on en voulait. Malgré son succès, le Daguerréotype n'a pas perduré, et c'est le procédé de Talbot qui a servi de base à la photographie actuelle.

Il est intéressant de noter que l'Académie des science a fait don "au monde" du brevet, le rendant public.

Si le daguerréotype a un succès énorme, il est toujours violemment controversé, et tout particulièrement par Baudelaire qui ne critique pas le médium lui-même mais l'usage abusif qu'on en fait alors. Pour lui, la photographie ne serait que "le refuge de tous les peintres manqués, trop mal doués ou trop paresseux pour achever leurs études". Il sera toutefois un modèle récurrent de Nadar (l'un des premiers photographe à penser et composer ses clichés).

Pour finir, on peut également noter que le nom Kodak (du premier appareil commercialisé à grande échelle utilisant une pellicule souple) n'a aucune signification particulière. Il fut en effet choisi pour se retenir facilement et surtout pour être prononcé de façon identique partout dans le monde, quelle que soit la langue.

 

En bref, ce qu'il faut en retenir :

     -A cause des querelles internes, le brevet de la photographie n'est pas déposé à l'académie des arts, mais à celle des sciences ;

      -Même si Daguerre a déposé le brevet en premier, la photographie esttirée des travaux de Talbot ;

    -Baudelaire fut l'un des artistes les plus virulents dans la critique de la photographie.

Liens :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Photographie

http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_la_photographie

Tu es armé pour ta prochaine sortie mondaine,ça en jette toujours de blablater art. En plus, tout le monde se prétend photographe, de nos jours (merci Instagram), alors voilà de quoi voler la vedette au cousin Franck qui s'est acheté un reflex à 1400€ pour l'utiliser en full-auto avec flash et qui se la raconte quand même en se faisant passer pour le photographe de demain !

John, procrastinateur de l’extrême et reporter de l'inutile.

Et nous voici pour le sixième chapitre dans notre voyage des trucs dont tout le monde s'en fiche mais qui sont quand même là, autour du Soleil. Aujourd'hui nous allons parler de trucs tout petits, vraiment tout petits. Aussi petits que la poussière qui traînent sous vos meubles, d'ailleurs ça en est.

Chapitre 6 : La poussière interplanètaire

Bon, qu'est-ce que peut avoir comme intérêt quelque chose d'aussi insignifiant ? Vous vous en doutez, il y en a à peu près partout et son origine est aussi diverse que tous les objets qui s'effritent dans notre système solaire.

Ainsi, les scientifiques étudient la poussière cométaire qui est une façon peu dangeureuse pour étudier les comètes. Mais on étudie aussi la poussière astéroïdale qui nous permet de retrouver la nature de l'objet lorsqu'il s'est vaporisé en s'écrasant sur Terre : c'est comme ça qu'on a découvert la couche géologique KT (pour crétacé-tertiaire) qui défini la fin des dinosaures. Enfin, on trouve aussi la poussière martienne, vénusienne, etc. qui sont autant d'informations supplémentaires que nos chers crânes dégarnis adorent ajouter à leurs études.

Et puis, il y a quelque chose qui rends ces poussières très intéressante, c'est le fait que comme elles sont toutes petites, elles sont très facilement influencées par la gravité. Ainsi, un grand nombre de poussières se trouvent dans les différents points de Lagrange des tous les systèmes gavitationnels qui existent dans le système solaire et ont donc permis à la validation de cette théorie gravitationnelle. Ainsi, on en a découvert pile de l'autre côté du Soleil sur l'orbite terrestre, à l'opposé de la Terre (Et il n'y a pas d'anti-Terre pour les plus superstitieux...).

Et cette poussière planètaire est aussi présente autour de la Terre, mais de manière beaucoup très diffuse, c'est en fait une grosse lentille centrée sur le Soleil qui s'étend bien au delà de la Terre. Mais, miracle de l'espace, vous pouvez voir cette poussière. Et oui, à l'oeil nu même ! Et pour vous prouvez que je vous raconte pas que des salades, je finis avec cette magnifique image de ce que l'on appelle la lumière zodiacale PLUS le lien de la recherche google pour que vous puissiez faire votre choix ! (Comment je suis trop un journaliste inutile et sympa ! ^^ )

Recherche de superbes zimages !

Lyokoï, ménagère de l'espace

Comme mon emploi du temps en ce moment, la répartition des cailloux dans le système est assez bordélique. À la suite des objets toujours plus petits que l'on trouve autour de notre belle étoile, il faut bien que l'on arrive à un moment où on en a marre de faire des classifications parce que y'a juste trop de trucs à ranger...

Chapitre 5 : les astéroïdes

Un astéroïde, c'est tous ce qui est plus gros qu'une poussière, style un petit caillou, et pas assez gros pour être sphérique. Il existe plusieurs origines aux astéroïdes et nous allons les voir d'un peu plus près.

Tout d'abord, l'origine la plus répandue et la plus ancienne : Les chondrites (prononcez "condrite"). Ces objets se sont formés en même temps que le système solaire. Ils sont là depuis le début et portent donc les mêmes "gènes" minéraux que la Terre à ses débuts. Ce sont eux qui intéressent le plus les scientifiques car ils nous renseignent sur l'état originel de la Terre et des autres planètes.

La seconde origine que l'on rencontre sont les résidus de planètes existantes telles Mars, ou la Lune. Ces résidus nous donne beaucoup d'informations sur ces objets mais n'ont pas d'autres intérêts.

Ensuite, il existe un troisième type d'astéroïdes qui ne sont constitué que de métal pur : les sidérolithes. Rare, ils sont très recherchés par les chasseurs de météorites mais n'intéresse que peu les scientifiques.

Enfin, les derniers astéroïdes sont constitués en grandes partie d'eau et de glaces d'autres liquides. Ils se trouvent essentiellement dans la ceinture de Kuiper et au-delà.

Car oui, en effet, les astéroïdes ne se trouvent en fait pas partout dans le système solaire. Bon, presque. Il y a toujours des objets sur des orbites non stables qui trainent un peu partout, mais la grande majorité d'entre eux sont stabilisé dans plusieurs zones délimités.

La ceinture d'astéroïde : Entre Mars et Jupiter se trouve la ceinture d'astéroïde où l'on trouve Cérès. C'est un lieu où il y aura dû se trouver une planète mais à cause des effets de marées les roches n'ont pu s'agglomérer en quelque chose de plus gros qu'une planète naine. 

Les troyens : Actuellement disposé sur les points gravitationnels de Lagrange des planètes gazeuses ils les accompagnent en les devançant ou les poursuivant.

La ceinture de Kuiper : Ceinture établie par Neptune les objets s'y trouvant y sont peu affectés par le reste du système et y forment beaucoup de gros objets (voir les chapitres précédents sur les planétoïdes et les planètes naines). Vu qu'il y a beaucoup de glace, un certain nombre d'objets en dispose de grande quantité.

Le nuage d'Oort : Nuage hypothétique de provenance des comètes, on pourrait y trouver un grand nombre d'objets, mais à part quelques comètes et Sedna, il y en a peu de connus que l'on pourrait mettre dans cette zone. La recherche n'attends que de pouvoir y envoyer de quoi valider la présence de cette zone gigantesque.

Voilà, quand quelque chose tombe du ciel et que c'est un caillou, vous pourrez enfin briller par votre immense savoir. Si c'est autre chose, il va vous falloir vous référer à d'autres articles... ;)

Lyokoï, inutile astronome de cailloux trop nombreux...